Ce site web a été traduit automatiquement par DeepL. Lors de la consultation des pages, les données personnelles restent anonymes, car aucune donnée n'est transmise au fournisseur de services. Les contenus traduits sont enregistrés localement sur le serveur web de la ville de Bonn et livrés directement à partir de là. Il est cependant possible que les traductions automatiques ne correspondent pas entièrement au texte original. La ville de Bonn n'assume donc aucune garantie quant à l'exactitude, l'exhaustivité et l'actualité des traductions.
Nous utilisons des cookies pour vous permettre une utilisation optimale de www.bonn.de. Des cookies techniquement nécessaires sont installés pour le fonctionnement du site. En outre, vous pouvez autoriser les cookies à des fins statistiques et nous aider ainsi à améliorer constamment la convivialité de bonn.de. Vous pouvez à tout moment adapter les paramètres de protection des données ou accepter directement tous les cookies.
Intervention spéciale sur le front de la circulation
Panneau de signalisation avec des fleurs rouges en forme d'éperon.
Les îlots de circulation plantés ou les surfaces de parterre le long des routes portent une grande responsabilité, pour ne pas dire une charge : ils fixent les poussières au milieu des gaz d'échappement des voitures, leur terre absorbe l'eau de pluie au milieu de la surface asphaltée et libère de l'humidité dans l'environnement.
Afin d'utiliser également ces surfaces comme habitat pour les insectes tels que les abeilles, les bourdons et les papillons, les îlots de circulation ont été délibérément plantés de plantes sauvages locales. Le bleuet, le coquelicot, la marguerite, la mauve et autres offrent ainsi à nos insectes une nourriture précieuse sous forme de nectar et de pollen. De plus, leurs fleurs multicolores illuminent notre humeur au milieu de la grisaille des rues.
Le saviez-vous ?
Ilot de circulation avec vipérine.
Ce sont surtout les abeilles et les papillons qui profitent de l'abondance de fleurs dans les jardins et les espaces verts urbains - mais à condition, bien sûr, de proposer des plantes à fleurs adaptées. Outre les mélanges de graines proposés comme "pâturage pour les abeilles ou les papillons", les plantes vivaces indigènes sont également adaptées à un jardin accueillant pour les insectes. Celles-ci ont une longue durée de vie, elles repoussent donc d'année en année et sont très faciles à entretenir.
Qu'il s'agisse de la marguerite, de la campanule ou de la saponaire, si l'on veut donner une place à la biodiversité dans le jardin, il faut laisser les tiges séchées avec les graines pendant l'hiver et ne rien enlever du jardin. En effet, les insectes passent volontiers l'hiver dans les cavités. Par ailleurs, la plante vivace utilise volontiers ses propres feuilles comme engrais - les feuilles mortes peuvent donc rester dans le jardin.
Portrait de la mauve
Mauve musquée.
Ces amies des insectes fleurissent de l'été à l'automne dans des tons allant du rose pâle au violet profond. Les mauves (genre Malva) ne sont pas très exigeantes : sur les sols secs, les graviers, les talus et de préférence dans les endroits ensoleillés à côté des champs, des prairies et des chemins, elles font partie de notre paysage naturel local.
La mauve sauvage (Malva sylvestris) - également appelée "peuplier à fromage", est l'une des plus anciennes plantes utiles connues. Elle possède de nombreux composants aux vertus médicinales, par exemple contre les infections grippales ou les troubles gastriques, et ses feuilles et ses fleurs sont comestibles.
Conseil des amis de la nature
Si l'on veut faire quelque chose de bien pour les insectes, il faut s'informer sur ce que l'on appelle les pâturages pour papillons et abeilles avant d'acheter des fleurs de jardin ordinaires. Le choix devrait surtout se porter sur des plantes vivaces indigènes comme la gentiane médicinale (Stachys officinalis), la sauge des prés (Salvia pratensis) et d'autres plantes à papillons et à lèvres. Les espèces de trèfle et les composées, comme la marguerite des prés (Leucanthemum vulgare), sont également très appréciées des abeilles et des bourdons. Mais attention ! Les fleurs doubles sur-cultivées ont certes un aspect extravagant, mais elles n'offrent pas de pollen ou de nectar pour nourrir les insectes. La nature est plutôt une affaire de nature, même au jardin.
Un autre conseil : plus de 20 chenilles de papillons indigènes se développent sur l'ortie - c'est pourquoi un coin d'ortie est un "must" pour tout jardin naturel !